Réflexion autour de la journée de sdys
Hier, c’était la journée des dys;
Souvent, quand je lis maintenant des articles sur les Dys, j’éprouve un sentiment de décalage. Décalage énorme dans les connaissances sur le sujet, décalage dans les perspectives d’évolution de ces enfants, décalage dans la perception du désespoir des familles.
Et pourtant, il y a quelques années de cela, j’étais dans le même désespoir qu’elles, mon fils dans le même état que ces enfants maltraités par l’école et leurs pairs.
Par bonheur, j’ai croisé le chemin de la prise en charge novatrice d’un sens que tellement peu de monde prend en compte : la proprioception.
J’ose le dire, mon fils est sorti d’affaire et je m’inscris en faux contre l’affirmation « on nait et on meurt Dys ». Mon fils est aujourd’hui heureux à l’école, bien dans sa peau, il passe son code sans que ça ne me soucie plus que pour ses frères. Tout va bien pour lui et les heures noires sont bien loin derrière nous, au point que lui-même les a oubliées (mais moi, non…).
Mais, je ne peux oublier tous les enfants qui pourraient aussi bénéficier de ce traitement, c’est pourquoi je vais continuer à me battre pour le faire connaître et qu’il puisse enfin être reconnu et proposé au plus grand nombre.
L’aventure de Sensoridys ne fait que commencer !
(Mais, j’ose le dire, j’ai besoin d’autres familles pour m’aider à la mener. Rejoignez Sensoridys pour nous donner davantage de poids !)